Traduire ou réécrire ?
Vous avez pensé et rédigé votre site web ou votre plaquette commerciale pour le marché français, et aujourd’hui vous avez décidé de le(s) traduire en anglais (allemand, espagnol, russe, hindi, mandarin…) pour les besoins de votre développement à l’export.
Avant de vous demander combien cela va vous coûter, prenez la peine de vous demander pourquoi et comment vous allez traduire vos textes. C’est un bon premier pas pour sélectionner le prestataire qui vous conviendra le mieux.
Argumenter dans un nouveau contexte
Même si vous ciblez des zones export sur lesquels votre offre et vos avantages concurrentiels existants restent valables et ne nécessitent pas d’être adaptés, qui dit nouveau territoire dit nouveau contexte. Intuitivement, les arguments commerciaux que vous allez développer à l’oral seront adaptés à ce que vous percevrez de vos nouveaux futurs clients. Alors pourquoi vos supports de communication devraient-ils rester figés dans leur version franco-française ? Prendre le temps de repenser vos textes est au final un investissement bien léger au regard des efforts que vous allez déployer pour vous implanter dans un nouveau pays. Qui plus est, le travail de fond est déjà fait puisque votre décision est issue d’une analyse du marché que vous visez.
La dimension culturelle de vos textes en anglais
Encore hésitant sur les zones à cibler, vous avez préféré opter pour une traduction en anglais uniquement. La démarche est ici sensiblement différente. Vous aller utiliser les même mots pour convaincre des personnes très différentes (besoins, culture, maîtrise de l’anglais). Votre approche devra donc être guidée par le plus grand dénominateur commun au niveau des besoins, un souci de rédaction dans un style accessible aux personnes de langue maternelle anglaise comme aux «business-baragouineurs», et l’adoption d’une attitude internationale qui implique de reformuler tout ce qui vous «désigne» comme une entreprise qui ne travaille que le marché français.
Langue maternelle ou idée originelle ?
La déontologie veut très naturellement qu’un traducteur ne traduise que vers sa langue maternelle. C’est donc bien souvent ce critère qui guide le choix d’un prestataire. Pour autant, bien traduire implique avant tout de bien comprendre la version d’origine. Dans cette optique, c’est le rédacteur de votre texte en français qui est sans doute le mieux placé pour traduire au mieux ses idées d’origine en les adaptant aux contraintes de la langue cible. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’A fond les bases propose une offre de traduction en complément de la création de contenu ; offre à laquelle nos clients, pour lesquels nous traitons de sujets particulièrement techniques, ont régulièrement recours.
Maîtrisez vos messages
Pas de traduction sans relecture… dans la version finale. Qui dans votre entreprise sera chargé de valider les pages web ou de signer le Bon à Tirer en thaï ou en mandarin ? Le cas des caractères non romains est exemplaire car une erreur de conversion par le navigateur ou le logiciel pré-presse est vite arrivée… avec des conséquences non maîtrisées. Il ne nous semble pas judicieux d’envisager des traductions dans des langues qui ne sont maîtrisées par personne au sein même de l’entreprise. Tenez-vous en à l’anglais en attendant d’avoir ouvert votre antenne à Shanghaï, ou d’y avoir trouvé un représentant de confiance.