Fautes d’orthographe : grave ou pas ?

Fautes d’orthographe : grave ou pas ?

Cette fosse dubitative peut-elle m’être utile pour le traitement de mes eaux usées ?
Serait-il préférable d’installer une fausse sceptique (soit une vraie crédule) dans mon jardin ?
Les vrais experts du sujet, capables de me conseiller, n’écrivent-ils pas «fosse septique» ?

Ca me laisse sceptique

S’il est aujourd’hui largement admis que faire des fautes d’orthographe n’est pas si grave, que l’important c’est le fond, il n’en reste pas moins que trop de fautes nuisent à la facilité de lecture et à la compréhension.
C’est pourquoi, du point de vue du lecteur, un texte facile à lire est un texte sans faute d’orthographe.
Faire des fautes, c’est donc compromettre  une part importante de tout contenu : la lisibilité, qui permet d’accéder plus facilement aux idées et donc au message.
Aucun donneur d’ordre n’accepterait d’ailleurs qu’un rédacteur lui remette un texte truffé d’erreurs…

Orthographe et image
Une orthographe correcte est aussi un gage de professionnalisme ; les fautes trop criantes ou trop nombreuses créent encore le doute (le scepticisme ?) quant à la crédibilité de l’entreprise qui en est l’auteur.
L’image de l’entreprise mérite bien une petite relecture !

Paroles d’expert
L’un des objectifs d’une démarche de communication par le contenu est aussi de positionner l’entreprise en tant qu’expert de son sujet. Dans cette optique, les fautes sur le vocabulaire technique lié au métier sont bien sûr à proscrire… d’autant qu’elles ne faciliteront pas le travail d’optimisation pour les moteurs de recherche.

Allez, un petit effort sur l’orthographe, ça ne peut faire que du bien !