Faut-il raconter des histoires ?

Faul-il raconter des histoires ?

La communication narrative (storytelling) est un formidable facilitateur d’implication de vos différents publics. Son utilisation est donc parfaitement adaptée à une démarche de communication par le contenu. Mais pas question ici de raconter des histoires, sous peine d’un retour de bâton à la hauteur des émotions engagées.

Des histoires qui nous parlent
Une insomnie ? Deux pages d’un rapport bien technique devraient suffire à en venir à bout, alors qu’un bon roman vous tiendra éveillé toute la nuit. Pourquoi cette différence ? Simplement parce que le rapport ne fait appel qu’à notre raison alors que le roman nous offre la possibilité de nous projeter dans une histoire. La projection crée l’implication ; c’est là toute la force du storytelling.

L’implication fait le lit de la déception
Toute médaille a son revers ; celui de l’implication est la déception. Car en nous impliquant nous nous engageons à titre personnel et ne saurions en conséquence accepter d’être trompés. Que ceux qui voient dans le storytelling une arme de manipulation massive soient prévenus : toute histoire a une fin et mieux vaut qu’elle soit en cohérence avec les premiers chapitres. Sinon les oreilles de votre auditoire risquent bien de rester sourdes à votre prochain récit…

Ecrire et raconter votre histoire
Avoir une vision claire de ce que l’on est et d’où on vient est un préalable indispensable pour raconter son histoire. Cette vision sera l’épine dorsale de votre récit, sur laquelle viendront se greffer les différents chapitres qu’il faudra écrire avant de les raconter. Créer du contenu c’est aussi mettre en place des actions concrètes qui serviront de support à votre discours.

Oui il est possible d’écrire, chapitre après chapitre et sans duperie, une histoire qui contribue à faciliter le dialogue avec vos clients et à leur faire préférer votre marque.